On se doutait que Baby, le manager/père adoptif de Lil Wayne, était pas le gars a qui tu laisserais tes clés de char. Surtout si t'as une épicerie dans le coffre et un bébé sur le siège arrière.
Mais des révélations-choc de Bangladesh, le producteur du méga-succès A Milli, donnent un nouvel éclairage aux techniques de gérance du Suge Knight du Sud.
«I don't fuck with [Lil Wayne]... and you can print that," Bangladesh told VIBE, when asked if fans should anticipate a reunion come his 2011 release. "Cash Money donâ??t pay royalties. The Carter III, [is] his biggest album probably because of â??A Millie.â? [But] you have to sue these guys so that they pay up.»
Apparemment, les producteurs Manny Fresh, Jim Jonsin (qui a créé le beat de Lollipop), Play-n-Skillz (Got money, avec T-Pain) seraient dans la même situation, où le seul contact qu'ils ont avec Ca$h Money se fait à travers leurs avocats.
Mais pire, Lil Wayne serait aussi sous le contrôle économique de Baby.
«Thatâ??s why Baby can go around flaunting this cash, because thatâ??s everyone elseâ??s money... It's not even Wayne's fault. Wayne is not getting money. He is given money, he's not getting money. If Baby gets a million dollars heâ??ll buy Wayne a Phantom, but thatâ??s in Cash Money's name. That 14-bedroom mansion isnâ??t Wayne shit».
La relation plutôt bizarre entre le poulain et son manager qui était esquissée dans l'excellent documentaire Tha Carter semble donc être plus malsaine qu'on aurait pu l'imaginer.
Garanti que tout ça finit en bain de sang, à un moment ou un autre. Vous l'aurez lu ici avant.
